Un des premiers impacts sur l’environnement de la construction reste l’étalement urbain et l’artifilisation sans oublier la composition de la maison elle-même, son cycle de vie et l’ensemble des énergies grises liées directement et indirectement à ce marché. Aujourd’hui, nous devons intégrer toutes ces contraintes et donne forme à des projets capables d’y répondre.
Récupération d’énergie
Notre planète reçoit en une heure l’énergie solaire comparable à ce que les hommes consomment en charbon, pétrole, gaz, bois et uranium… sur 365 jours. Aujourd’hui, les technologies permettraient de recouvrir l’intégralité d’une maison en particule photovoltaïque. D’une autre manière, mais tout aussi efficace la récupération d’eau de pluie pourrait réduire considérablement notre consommation quotidienne et éviter l’utilisation de l’eau potable qui finira par se raréfier.
Sourcing
Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre et ses impacts sur l’environnement sont nombreux. En utilisant construction en filière sèche avec un sourcing de bois locaux, les impacts sur l’environnement pourraient être grandement diminuer.
Non-artificialisation des sols
La perte de biodiversité, d’imperméabilisation des sols est directement liée à l’étalement urbain et par son artificialisation. L’intérêt de construire sur pilotis permet à la fois de préserver son environnement et de permettre une meilleure réversibilité de la maison à la fin de sa durée de vie.
Énergie grise
Pour réduire l’empreinte carbone, il est parfois insuffisant de se concentrer que sur la maison elle-même, mais aussi sur l’ensemble des énergies grises liées directement ou indirectement au cycle de vie du bâtiment.